Paul Andria

Né en Février 1955 à Vohimarina Lamosina
Fianarantsoa, ayant fréquenté le lycée Raherivelo Ramamonjy  et la Semipi (Sekoly miaramilam-pirenana=
école préparatoire militaire), baccalauréat 1974 puis études à l’Université de
Bordeaux II (faculté de pharmacie) et à l’Ecole de Santé Navale.

- Marié, père de trois enfants, j’ai vécu
et travaillé à Bordeaux, Paris, Chateaurenard (Loiret) avant de traverser la
Manche en 1999 pour vivre en Angleterre, réside à Hillview, Woking, Surrey et
travaille comme Phamacist Manager à Horsell.

- mon email adresse est andriapaul@hotmail.com

- j’ai adopté  Paoly Randria comme pseudonyme dans le passé
mais depuis que j’ai recontré Roger Gicquel (journaliste, poète, ancien
présentateur TV) lors des premiers festivals de poésies sans frontières à
Bordeaux, j’ai décidé d’assumer nom et prénom comme lui pour signer mes
écritures. A quoi bon se cacher si c’est pour évoquer quelquefois ses propres sensations?

- j’ai participé :    * aux festivals de « poésies sans
frontières » de Bordeaux/Aquitaine en 1990 -1991

                               * au concours
littéraire de poésies de l’Association des artistes et auteurs Ardennais de
1991 (Prix Roger Kowalski), option « poèmes classiques ou libérés »

                               * au festival
MELA (Musiques Ethniques Librement Aménagées) de Bègles/Bordeaux en 1991 en
intervenant sur les contes et les poésies ; Madagascar fut le pays invité.

                               * membre de
l’association la Licorne de 1989 à 1992, association dont l’objet était entre
autres  d’explorer  les contes, légendes et poésies du monde

                               * collaboration avec  Alain Mathieu, poète du Gatinais lors de son
«  exposition de poésie libre » à Chateaurenard en 1998

J’ai écrit des poèmes depuis 1972 au nombre
de 105 répertoriés mais ils sont en majorité en langue française et mes auteurs
préférés sont Jean J. Rabearivelo, Rado, Verlaine et Léopold Sedar Senghor. Il
est difficile de choisir des poètes dans le vif et à froid comme ça : tous
les poètes ont tous chacun leur style et leur sensitivité.

J’aimerais publier plus tard mon recueil de
poèmes et j’avoue que je commence petit à petit à y songer sérieusement. Il en
est de même l’idée de créer un site ou un blog dans un futur immédiat.

Un poème est fait pour être échangé :
connaître d’autres écrivains, s’ouvrir à d’autres auteurs, mettre ses écrits
accessibles aux lecteurs. Un poème demande toujours beaucoup d’inspirations
pour l’accoucher sur un papier.  C’est le
fruit de plusieurs sentiments exprimés en mots, en images,  en jeu de mots et de sons dont seul le poète
en a le secret.  N’est pas poète qui il
veut…

Ainsi, un poème permet à son auteur  de partager ses joies, ses tristesses, ses
espoirs, ses souffrances  et quelque fois
un peu de lui-même.

Il est difficile de choisir un poème parmi
ceux qu’on a dans son répertoire.  Chaque
texte a été élaboré dans un contexte particulier et je dirais qu’il est
complexe d’en cueillir un seul pour en faire votre favori. Tous les poèmes sont
un peu comme vos enfants : vous les aimez tous .

Mais s’il fallait en choisir un de mon
recueil, je vous citerais « l’aubade à l’indifférence » : dont
le thème est surtout d’actualité car devant les problèmes quotidiens et les
soucis matériels de la vie, on a tendance à se recroqueviller, à s’isoler, à
penser « chacun pour soi » au lieu de porter secours ou à défaut un
regard sur le voisin qui a le plus besoin d’attention.

Paul Andrianantenaina