Qui
est Domoina Ratovozanany ?
Née le 2 octobre
1985, Domoina Ratovozanany est l’un des jeunes poètes malgaches les plus
prometteurs. Elle a pris la plume à l’âge de 12 ans et possède aujourd’hui près
de 300 poèmes inédits. Malgré le fait de n’avoir pas encore publié de livre, le
talent de Domoina Ratovozanany gagne de jour en jour une plus grande
reconnaissance nationale et mondiale.
5 fois meilleur
poète d’amour mondial
Ecrivant
essentiellement des poèmes d’amour en français, elle est l’unique Malgache dont
les œuvres ont été élues « meilleur poème d’amour du mois » par le
site www.poesieetcitationsdamour.com,
le plus grand site français de poésie et de citations d’amour. Et le seul poète
au monde à avoir 5 œuvres primées sur cette toile : « je
t’aime » (juin 2005), « toi » (juillet 2005), « tu es mon
homme » (août 2006), « quand tu m’aimes »« tes yeux » (mars 2010) et
(juin 2010).
Quasiment tous les
sites poétiques français publient ses poèmes d’amour, ainsi que quelques
centaines de blogs des quatre coins du monde. Ses poèmes sont traduits en
anglais, en allemand, en portugais, en italien, en espagnol, en japonais et
même en perse par les internautes. Et le nombre de visiteurs de son blog, http://domoina-poemesdamour.hautetfort.com,
créé en 2007, double chaque mois.
Sur tous les
fronts malgaches
A Madagascar, Domoina Ratovozanany n’est pas moins
reconnue. Communicante de formation, elle débute journaliste. Alors benjamine
des médias malgaches, elle a toutefois remporté en 2006 le Premier Prix du
Reportage sur la Biodiversité en 2006.
Membre de l’Union des poètes et écrivains malgaches
(Upem) depuis 2007, elle participe activement aux événements littéraires
initiés par l’Alliance Française de Tananarive et le Centre Culturel Français
(Printemps des poètes, conférence débat sur le droit d’auteur, lectures
publiques…).
Etant donné que très peu d’auteurs malgaches
écrivent en français, Domoina Ratovozanany a traduit en français, sans
contrepartie, les oeuvres de la poétesse malgache Ny Eja, sous le titre « Rêve
inédit » en 2006.